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par
Julie Robinson
Diplômée en photographie, Robinson développe une pratique autodidacte de sculpture et de peinture. Elle est cofondatrice et coorganisatrice de la biennale XL et de la communauté artistique multidisciplinaire Cercle CréatiC. Elle vit et travaille à Montréal.
Philippe Mayer
Né en 1975 à Amos en Abitibi-Témiscamingue, je vis à Montréal et travaille à mon atelier dans le quartier du Mile-End. Je suis artiste peintre professionnel reconnu par le Regroupement des Artistes en arts visuels (RAAV). Diplômé du Cégep St-Laurent en arts-plastiques, j’ai aussi fait des cours autodidactes en arts visuels à l’UQAM et du modèle vivant à l’Institut des Beaux-Arts Villa-Maria. J’arpente l’univers de la peinture depuis plus de vingt-cinq ans. Je suis cofondateur du Collectif d'œuvres grand format XL.
Je suis cofondateur du Collectif d'œuvres grand format XL. J’ai plus d’une quarantaine d’expositions à mon actif et des parutions dans quelques revues d’art.
Lucie Diotte
Après l'obtention de son DEC en arts plastiques au cégep du Vieux Montréal, Lucie Diotte a suivi plusieurs formations en art tout en peaufinant sa technique de façon autodidacte. Elle a toujours su rester active dans le milieu des Arts Plastiques, notamment en présentant ses œuvres lors de diverses expositions solo ou de groupe. En 2012, elle obtient une mention d'excellence pour son œuvre Abnégation ainsi qu’une bourse offerte par le Musée des beaux-arts du Mont-Saint-Hilaire. Dernièrement, elle s’est méritée le prix grand public pour son œuvre Cadavre exquis, prix offert par le centre Expression (centre d'exposition de Saint-Hyacinthe).
Horticultrice de formation, troquant le plus souvent possible ses pelles pour ses pinceaux, crayons ou sa machine à souder. Le monde onirique de cette artiste, parsemé de références culturelles, sociales ou personnelles ne manquent pas de toucher notre cœur d’enfant.
Fay Anaïs Jutras,
alias Faynïx Jutras, est une artiste multidisciplinaire et designer basée à Montréal. Lors de l’exposition des finissants en design industriel du Cégep du Vieux Montréal en 2007, elle se distingue grâce à son projet de fin d’études pour lequel elle obtient le Prix Coup de coeur du jury, ainsi que le Prix Mention honorable de l’ADIQ (Association des Designers Industriels du Québec). Fay Anaïs fait également une incursion dans le domaine de l’animation 3D où elle excelle dans l’élaboration de personnages singuliers et de leur univers imaginaire détaillé; un talent qui se fera ressentir dans sa pratique artistique actuelle. C’est suite à l’accomplissement de son baccalauréat en beaux-arts – une majeure en design lui permettant d’explorer le design sous un angle plus artistique – qu’elle est propulsée dans sa propre carrière d’artiste. Versatile et curieuse, elle touche à plusieurs disciplines : dessin, peinture, sculpture, linogravure, poterie, collage, etc. Elle prend plaisir à participer à l’organisation d’événements dans lesquels elle expose ses œuvres, notamment lors de la manif Etsy à Montréal en 2017 et lors de son exposition au Presse Café à Mont-Saint-Hilaire en 2012. En 2018, Fay Anaïs est sélectionnée par le collectif Big Ink, avec qui elle se rend au New Jersey pour participer à un atelier de xylogravure grand format : il en résulte une œuvre qu’elle expose à la galerie Frontline Arts. Elle est également conviée au festival Mtl en Arts à deux reprises, soit en 2016 et en 2021, où elle fait partie des artistes invités pour une performance artistique en direct. Dans les dernières années, elle trouve sa liberté d’expression à travers le Street Art; une manière bien à elle de revendiquer un espace d’exposition qui sort du cadre protocolaire.
DÉMARCHE ARTISTIQUE
Dans sa pratique artistique, Fay Anaïs observe et questionne avec délicatesse et bienveillance la relation qu’entretiennent les femmes avec leur corps. Dans une société où le trouble dysmorphique du corps s’intensifie constamment, elle adresse la notion de canons de beauté en amenant dans ses illustrations aux formes intuitives une distorsion volontaire et assumée de corps humains. Les lignes courbes, empreintes d'une grande sensualité, apaisent les tensions de nos tourments intérieurs. Ses créations se veulent une sorte d’intervention positive invitant à une acceptation de soi, là où ladite “imperfection physique” devient un attribut identitaire à valoriser. Son travail dépeint régulièrement des personnages féminins, à la fois forts et vulnérables, qui célèbrent leur corps avec confiance et fierté; manifestation d’un amour inconditionnel envers leur propre unicité.